Merci bien, mais non merci...
Simetierre - Stephen King
Louis Creed, son épouse Rachel, sa fille Ellie et son fils Gage ont quitté Chicago pour emménager à Ludlow, petite bourgade du Maine. Louis, médecin, vient de trouver un travail à l'université voisine. Il fait la connaissance de Jud Crandall, son voisin octogénaire avec lequel et se lie rapidement d’amitié. Au cours d'une promenade, Jud fait découvrir à la famille Creed le « Simetierre », un cimetière d'animaux où des générations d'enfants ont enterré leur animal de compagnie préféré.
Peu de temps après, la mort violente d’un étudiant plonge Louis dans un malaise d'autant plus important que la nuit venue, cet étudiant lui apparaît en rêve et le conduit jusqu'au cimetière des animaux où il lui adresse une sorte de mise en garde. Sans parvenir à savoir s'il a rêvé ou pas, la vie reprend son cours jusqu'à ce que le chat de la famille, Church, ne meure accidentellement alors que l'épouse et les enfants de Louis sont en vacances. Jud Crandall emmène Louis au-delà du cimetière des animaux, dans un territoire indien, où il demande à Louis d'enterrer le cadavre du chat, qu'il avait emporté, dans une vraie sépulture.
Dès le lendemain, Church fait son apparition, mais quelque chose à changé en lui. Louis ressent un profond dégoût s’empare de Louis dès qu’il le touche. Quelque temps plus tard, un drame terrible frappe de nouveau les Creed : l'enfant de Louis, Gage, âgé de 2 ans meurt écrasé par un camion. Terrassé par la douleur Louis décide de l’enterrer à son tour dans le cimetière indien.
Bon je ne suis pas super fière de moi sur ce coup là, et ceci pour deux raisons:
1 - Je n'ai pas pu venir à bout de Simetierre pour la simple et bonne raison que j'étais morte de trouille en le lisant. Notez que je suis depuis ma plus tendre enfant championne du monde des cauchemars. Pour éviter que ma moitié ne finisse par mourir d’une attaque en pleine nuit suite à mes généreux hurlements, je me suis déjà interdit toute production cinématographique susceptible d’abreuver ma morbide imagination, et bien je dois me rendre à l’évidence c’est également fichu pour la littérature… ‘Mais - me direz-vous (ou pas)- tu as pourtant lu Salem sans rechigner (mais pas sans effroi !) ???’. Et bien c’est pas pareil ! Les vampires ça fiche la frousse mais j’y crois pas une seconde ! Que les pouvoirs maléfiques d’un cimetière indien, là j’me dis bon bah quand même on sait jamais hein ?! Ajouter à ça le fait qu’un môme d’un âge proche de celui de mon fils devienne une espèce de chose sans nom, assoiffée de sang, là c’est trop pour moi ! Mais si vous aimez frissonner sous votre couette (ah oui faut le lire la nuit de préférence), je vous recommande ce King sans la moindre hésitation. Ok je n’ai lu qu’un peu plus de 250 pages, mais pas de doute King est un grand conteur.
Et sans transition voici la seconde raison de mon non-auto-satisfaction :
2 – Le résumé n’est même pas de moi ! C’est quasiment mot pour mot ce que j’ai trouvé sur Wikipédia. Oh allez soyez indulgents nous sommes encore au mois d’août, j’ai encore le droit de me vautrer dans ma fainéantise. Bah oui il faut avouer que je n’ai pas tellement lu ces dernières semaines j’ai entamé 2/3 livres qui ne m’ont pas convaincu, pas le bon moment pour ce genre ce lectures j’imagine. Mais rassurez-vous j’ai trouvé un chouette roman qui devrait nous valoir un billet d'un de ce nom.
Sur ce bonne rentrée à tous!
Simetierre - Stephen King - Le Livre de Poche